Comme à chaque départ, et ça semble partagé par nombre de personnes neurodivergentes, c'est très difficile de faire quoi que ce soit de productif ou d'intéressant avant une échéance importante dans la journée. Ma stratégie quand je peux : je cale mes rendez-vous psy, médicaux, pro, vers 10h du matin. Pas trop brutal pour le réveil, mais pas le temps de se sentir paralysée par la peur de manquer le rendez-vous si je m'absorbe dans une tâche, ni la frustration de ne pas arriver à penser à autre chose que l'heure de partir. Mes départs pour Paris répondent à une logique différente : je cale mon arrivée sur l'heure de la sortie de la crèche, donc je pars de chez moi entre midi et 14h selon les trains, selon si quelqu'un souhaite déjeuner avec moi avant mon train.
Aujourd'hui cependant, j'ai essayé de lutter contre ça. Comme hier j'ai annoncé une surprise pour le retour de mon époux·e, évidemment iel l'a vue, j'ai décidé de lui faire une autre surprise, cette fois-ci sans la publier. J'ai donc travaillé environ une heure sur… vous verrez bien.